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EN BREF
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Lors d’une récente matinale, Léocmobilité, énergies vertes et bilan carbone ont été les thèmes centraux abordés par Laurence Esquedin et Frédéric Schall de l’entreprise EEC ENGIE. Ils ont souligné l’importance de favoriser des modes de transport durables tels que la marche, le vélo et les transports en commun, dans un contexte de réduction des émissions de CO₂. EEC s’est engagé dans une démarche de transition énergétique, visant à augmenter la part d’énergies renouvelables dans sa consommation.
Frédéric Schall a également mentionné que l’entreprise a réalisé son premier bilan carbone en 2008 et a pris des mesures pour maîtriser ses consommations d’énergie, notamment par la replantation d’arbres pour compenser ses émissions. Les initiatives mises en place par EEC incluent également la digitalisation des services pour réduire les déplacements et l’encouragement du télétravail.
Ecomobilité, énergies vertes et bilan carbone : un enjeu de société
Lors d’une matinale récente, Laurence Esquedin et Frédéric Schall, représentant EEC ENGIE, ont discuté des sujets cruciaux tels que l’écomobilité, les énergies vertes et le bilan carbone. Dans un contexte où le changement climatique fait l’objet de préoccupations grandissantes, leur intervention a mis en avant l’importance de réorienter nos modes de déplacement et de consommation vers des alternatives plus durables. Ce partage d’expériences a contribué à sensibiliser le public sur l’urgence des actions à mener pour réduire notre empreinte écologique.
Comprendre l’écomobilité
L’écomobilité se définit comme un ensemble de pratiques de mobilité qui respecte l’environnement. Cela inclut la marche, le vélo, les transports en commun et le covoiturage. L’idée est de diminuer le recours à la voiture individuelle, souvent synonyme d’émissions de CO₂. Face à l’ampleur du réchauffement climatique, la transition vers des modes de déplacement plus respectueux de la planète n’est plus une option mais une nécessité. En Nouvelle-Calédonie, cette approche commence à prendre de l’ampleur grâce à l’engagement des entreprises comme EEC ENGIE.
Le rôle d’EEC ENGIE dans la transition énergétique
EEC ENGIE est une entreprise pionnière de l’écomobilité en Nouvelle-Calédonie. En 2016, elle a signé la charte écomobilité, témoignant de son engagement dans une démarche durable. Selon Laurence Esquedin, responsable de la communication d’EEC ENGIE, l’entreprise n’a pas attendu cette signature pour commencer à agir : « Nous étions déjà dans une démarche d’écomobilité avec la réalisation du bilan carbone ou encore l’acquisition d’un véhicule électrique. » Cette proactivité a permis à l’entreprise de se positionner comme un acteur clé dans la transition énergétique de l’île.
Les engagements de l’entreprise pour les énergies renouvelables
Actuellement, la production d’électricité en Nouvelle-Calédonie est composée à 80 % d’énergies carbonées et seulement 20 % d’énergies renouvelables. Cependant, les objectifs ambitieux du gouvernement visent à atteindre 70 % d’énergies renouvelables d’ici 2030. EEC ENGIE s’inscrit dans cette dynamique, se définissant comme un « site positif » selon Frédéric Schall, responsable des services généraux de l’entreprise. Cela signifie qu’ils produisent plus d’énergie que ce qu’ils consomment, illustrant leur engagement en faveur des énergies vertes et de la durabilité.
Le bilan carbone : un outil essentiel
Le bilan carbone est un outil fondamental pour toute entreprise soucieuse de limiter son impact environnemental. EEC ENGIE a été la première entreprise en Nouvelle-Calédonie à réaliser son bilan carbone, comptabilisant pour la première fois ses émissions de gaz à effet de serre en 2008. En 2018, un second bilan a été dressé, témoignant des progrès réalisés. Frédéric Schall souligne la maîtrise de la consommation d’énergie, affirmant que « 100 % de la production de CO₂ est compensée par la replantation d’arbres. » Cela en dit long sur l’engagement d’EEC ENGIE à réduire son empreinte carbone.
Initiatives pour réduire l’empreinte carbone
Pour limiter son empreinte écologique, EEC ENGIE a mis en œuvre plusieurs initiatives. Parmi celles-ci figurent les bornes de paiement en ligne pour éviter les déplacements inutiles des clients, ainsi que la digitalisation de ses services. De plus, l’entreprise facilite l’accès aux transports en commun et favorise le télétravail avec des objectifs prévus dès 2024. Ces actions visent à alléger l’impact environnemental tout en améliorant la qualité de vie des utilisateurs.
Les bénéfices d’une approche durable
L’adoption de modes de déplacement plus durables présente de nombreux avantages. Cela contribue à la réduction des nuisances sonores, à l’amélioration de la qualité de l’air et au bien-être général des citoyens. Les entreprises qui s’engagent dans cette démarche, comme EEC ENGIE, jouent un rôle essentiel non seulement en termes de responsabilité sociétale, mais aussi en inspirant d’autres acteurs à suivre leur exemple. En promouvant l’écomobilité, ils participent à la construction d’un avenir plus viable et respectueux de l’environnement.
Engagement communautaire et sensibilisation
Au-delà des actions internes, EEC ENGIE s’implique également dans des projets communautaires visant à sensibiliser le public aux enjeux de l’écomobilité et des énergies renouvelables. Ces initiatives permettent d’impliquer la population dans des activités concrètes et éducatives autour de la transition écologique. Le démarrage de discussions ouvertes, de conférences ou d’ateliers en est un exemple. Cela contribue à établir un dialogue constructif entre les entreprises, les citoyens et les acteurs institutionnels.
Prospective : les défis à venir
Bien que des progrès significatifs aient été réalisés, de nombreux défis demeurent. L’une des principales préoccupations reste le passage d’un mix énergétique majoritairement carboné à une économie de plus en plus verte. La décarbonation des secteurs énergétiques et des transports doit s’accompagner d’une évolution des mentalités et des comportements. La mobilité durable doit s’intégrer dans les politiques publiques et les stratégies de développement afin d’atteindre les objectifs de durabilité.
L’écomobilité comme modèle à suivre
Adopter l’écomobilité est donc crucial pour répondre aux enjeux environnementaux actuels. Le modèle proposé par des entreprises telles qu’EEC ENGIE pourrait servir de référence pour d’autres organisations souhaitant effectuer une transition vers des opérations plus durables. Ce modèle, basé sur la réduction des émissions de CO₂, la promotion des transports durables et l’évaluation de l’impact environnemental, pourrait inspirer d’autres régions et entreprises dans le monde.
Resources et perspectives
Pour mieux comprendre ces enjeux, plusieurs ressources sont disponibles. L’article détaillé sur l’écomobilité sur Wikipedia propose un aperçu complet des pratiques et initiatives à travers le monde. De plus, la stratégie bas carbone est un excellent guide pour les entreprises désireuses d’intégrer des solutions durables dans leur fonctionnement quotidien. Enfin, pour ceux intéressés par les innovations écologiques spécifiques, consulter les innovations dans le nautisme pourrait offrir une perspective inspirante.
Conclusion ouverte sur l’engagement continue
Les discussions tenues lors de la matinale témoignent de l’engagement d’EEC ENGIE à poursuivre ses efforts dans le domaine de l’écomobilité et des énergies vertes. Grâce à leur volonté de réduire les émissions de CO₂ et à leur engagement envers la durabilité, ils sont un exemple à suivre pour d’autres entreprises. Les défis à relever restent nombreux, mais les initiatives présentées par EEC ENGIE dessinent une voie vers un avenir plus durable pour tous.
Témoignages sur l’écomobilité et les énergies vertes
Lors d’une récente matinale, L’ecomobilité a été mise en avant comme un véritable enjeu pour l’avenir. Les intervenants, Laurence Esquedin et Frédéric Schall d’EEC ENGIE, ont souligné l’importance de promouvoir des modes de transport durables tels que la marche, le vélo et les transports en commun. Dans un contexte de changement climatique, il devient crucial de réduire les émissions de CO₂ pour préserver notre planète.
Laurence Esquedin, en tant que responsable de la communication, a expliqué comment EEC ENGIE s’est engagé dans une démarche proactive d’écomobilité, avec la signature de la charte écomobilité en 2016. Elle a déclaré : « À l’époque, il y a plus de vingt ans, nous étions déjà dans une démarche d’écomobilité, et cela nous a conduit à valoriser nos actions. » Cette tradition d’engagement et d’action témoigne de la conscience écologique de l’entreprise.
Frédéric Schall, responsable des services généraux, a ajouté que l’électricité produite en Nouvelle-Calédonie est actuellement composée à 80% d’énergies carbonées et à 20% de renouvelables. Il a partagé un objectif ambitieux pour le gouvernement : passer à 70% d’énergies renouvelables d’ici 2030. « Nous sommes considérés comme site positif, car nous produisons plus que ce que nous consommons, » a-t-il affirmé, illustrant l’engagement d’EEC envers une transition énergétique durable.
EEC héros en matière d’bilan carbone, ayant été la première entreprise en Calédonie à le réaliser, a comptabilisé ses émissions de gaz à effet de serre à deux reprises, en 2008 et 2018. Frédéric Schall a noté que « nous maîtrisons notre consommation », précisant que pour le parc automobile, 100% des émissions de CO₂ sont compensées par la replantation d’arbres. Cela montre l’efficacité des actions mises en place pour réduire l’empreinte carbone de l’entreprise.
Parmi les initiatives supplémentaires d’EEC, citons l’implémentation de bornes de paiement en ligne, qui réduisent les déplacements nécessaires des clients, ainsi que la digitalisation des services et l’encouragement du télétravail avec des objectifs fixés pour 2024. Ces mesures font partie d’une démarche intégrée pour limiter l’impact environnemental de l’entreprise et favoriser un passage à des solutions de transport plus vertes.
